A Silent Voice – Yoshitoki OIMA – Editions KI-OON

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C’est mercredi et avec ce jour des enfants la chronique jeunesse du poussin , une découverte manga , un univers que je découvre avec grand plaisir

Quatrième de couverture :

Shoko Nishimiya est sourde depuis sa naissance. Même équipée d’un appareil auditif, elle peine à saisir les conversations, à comprendre ce qui se passe autour d’elle. Effrayé par ce handicap, son père a fini par l’abandonner, laissant sa mère l’élever seule.

Quand Shoko est transférée dans une nouvelle école, elle s’emploie à surmonter ses difficultés mais, malgré ses efforts pour s’intégrer dans ce nouvel environnement, rien n’y fait : les persécutions se multiplient, menées par Shoya Ishida, le leader de la classe. Tour à tour intrigué, fasciné, puis finalement exaspéré par cette jeune fille qui ne sait pas communiquer avec sa voix, Shoya décide de consacrer toute son énergie à lui rendre la vie impossible.

Psychologiques puis physiques, les agressions du jeune garçon se font de plus en plus violentes… jusqu’au jour où la brimade de trop provoque une plainte de la famille de Shoko, ainsi que l’intervention du directeur de l’école. À cet instant, tout bascule pour Shoya : ses camarades, qui jusque-là ne manquaient pas eux non plus une occasion de tourmenter la jeune fille, vont se retourner contre lui et le désigner comme seul responsable…

Un manga pas comme les autres, qui réussit avec brio à parler de handicap de manière juste et touchante !

L’avis du poussin :

A Silent Voice est un Shonen Manga en 7 volumes, les Editions Ki-oon assure la publication de ce manga depuis début 2015 et actuellement 5 tomes sont disponibles.  

L’auteur, Yoshitoki OIMA , qui n’a que 19 ans à l’époque de sa première publication , fait preuve de beaucoup de maturité , aussi bien dans les dessins que dans le thème choisi et la façon de l’aborder . 

 Ce premier tome raconte l’histoire de Shoya, jeune collégien qui a plus d’attirance pour les défis en tout genre, pour tuer l’ennui permanent qui caractérise l’adolescence, que pour les études. Et de Shoko, malentendante, et collectionneuse des changements d’école.

Shoya trouve en elle un nouveau défi, lui rendre la vie impossible, les persécutions sont d’abord psychologiques et deviennent physiques.

Lorsque l’agression de trop arrive et que la petite Shoko quitte l’école, tous les camarades de Shoya vont lui tourner le dos, bien qu’ils aient cautionné ce harcèlement. Il devient alors la tête de turc et hérite d’une réputation de mauvais garçon jusqu’à la fin de ses études. Le premier tome se termine quelques années plus tard, lorsqu’il se rend dans une association d’interprètes en langue des signes, et tombe sur la belle Shoko.

En bref, un manga qui bouscule sur le thème du harcèlement des handicapés en milieu scolaire.

Note du poussin : 4/5

Lien vers l’auteur : http://www.ki-oon.com/mangas/tomes-674-a-silent-voice.html

Nora Roberts – Un parfum de chèvrefeuille – L’hôtel des souvenirs 1

51faC5Mbd6L._SX355_BO1,204,203,200_Quatrième de couverture :

A Boonsboro, petite ville du Maryland, les frères Montgomery ont un projet qui leur tient à cœur : transformer en hôtel une demeure vieille de deux siècles, laissée à l’abandon. Une de ces maisons dont Beckett, l’architecte de la famille, dirait qu’elle est « habitée » tant il sent parfois une insaisissable présence féminine entre ses murs. Comme d’étranges effluves de chèvrefeuille

Beaucoup moins insaisissables, en revanche, sont les sentiments qu’il éprouve depuis le lycée pour Clare, la libraire, de retour en ville avec ses trois enfants après avoir perdu son mari. Mais que pèse un flirt  de jeunesse face à une véritable histoire d’amour marquée par un drame ? 

L’avis du poussin :

C’est ce que j’appelle de la lecture détente , idéal après un gros pavé ou un roman bouleversant , un bon livre à l’eau de rose qui rafraîchit et transporte dans un monde de guimauve et barbe à papa , enfin presque, car dans ce roman il y a quand même un minimum d’intrigue .

Clare jolie libraire (le métier de rêve), mère de trois garnements, mais malheureusement veuve (il faut bien attendrir le chaland) va tomber dans les bras de Beckett, un architecte, côtoyant les fantômes et amoureux depuis sa plus tendre enfance  de Clare.

Vous connaissez déjà la fin ?! Ou presque, car il y a dans ce roman une dose de suspense inattendue, Clare va être traquée par un déséquilibré prêt à tout pour la soumettre à ses moindres idées farfelues .Il m’a fait froid dans le dos par moment, dire que ce genre de personnages existent dans la vraie vie ça donne envie de se promener avec une bombe lacrymo dans son sac à main. 

C’est le premier titre d’une trilogie, une des spécialités de Nora Roberts, si j’en ai l’occasion un jour, je lirai la suite avec une bonne citronnade et des bonbons. 

La phrase marquante : Ah les hommes ! Des gamins dans un emballage plus grand

Note du poussin : 3/5

Lien vers l’auteur : http://noraroberts.com/

C’est lundi que lisez vous ?

Ma première participation à c’est lundi que lisez vous ? Le concept est simple chaque lundi , trois questions , trois réponses .

Qu’avez vous lu la semaine passée ?

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Tu me plais de Jacques Expert -Edition : le Livre de poche 

Résumé : 

Quand, par une succession de hasard, Vincent se retrouve face à Stéphanie sur la ligne 1 du métro parisien , la scène a tout de la belle rencontre .La jeune femme tombe immédiatement sous son charme; lui semble fasciné par le galbe et la finesse de son cou .Mais ce coup de foudre pourrait bien se révéler fatal…Car, sous ses airs enjôleurs , Vincent dissimule de terrifiantes pulsions.Hasard de l’existence ou force du destin, comment sauver Stéphanie des griffes de ce funeste séducteur ?

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La sélection de Kiera Cass – Edition : Robert Laffont

Résumé : 

Elles sont trente cinq jeunes filles : la Sélection s’annonce comme l’opportunité de leur vie . L’unique chance pour elles de troquer un destin misérable contre un monde de paillettes.L’unique occasion d’habiter dans un palais et de conquérir le coeur du prince Maxon , l’héritier du trône . Mais pour America Singer , cette sélection relève plutôt du cauchemar . Cela signifie renoncer à son amour interdit avec Aspen , un soldat de la caste inférieure . Quitter sa famille. Entrer dans une compétition sans merci . Vivre jour et nuit sous l’oeil des caméras … Puis America rencontre le Prince , et tout les plans qu’elle avait échafaudés s’en trouvent bouleversés …

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Demain est un autre jour de Lori Nelson Spielman – Edition : Pocket

Résumé : Qu’avez-vous fait de vos rêves de jeunesse ? Brett Bohlinger , elle , a un an pour le découvrir . Pensant hériter de l’empire cosmétique familiale à la mort de sa mère , elle apprend que cette dernière , qui avait pour elle de tout autres projets , ne lui a légué qu’un vieux bout de papier : la liste de tout ce que Brett voulait vivre quand elle avait 14 ans . Si elle veut toucher sa part , la jeune femme doit réaliser chaque objectif de cette life list . Enseigner ? Aucune envie . Un bébé ? Andrew , son petit ami , n’en veut pas . Tomber amoureuse ? C’est déjà fait grâce à Andrew. A moins que …

Qu’elle est ta lecture du moment ?

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No et moi de Delphine de Vigan – Edition : Le livre de poche ( prêt de Patricia )

Résumé : Adolescente soudoyée , Lou Bertignac rêve d’amour , observe les gens , collectionne les mots , multiplie les expériences domestiques et les théories fantaisistes . Jusqu’au jour où elle rencontre No , une jeune fille à peine plus âgée qu’elle . No , ses vêtements sales , son visage fatigué , No dont la solitude et l’errance questionnent le monde . Pour la sauver , Lou se lance alors dans une expérience de grande envergure menée contre le destin . Mais nul est à l’abri …

Que compte tu lire cette semaine ?

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Innocenti de Eric Descamps – Edition : Atine Renaud 

Résumé : Paris, le 13 janvier 2013.Au cours de la manifestation contre le mariage pour tous, six femmes s’écroulent, et meurent dans les minutes qui suivent, saignées à blanc.Hantée par l’idée d’un attentat politique, la police mène une enquête dans la plus grande discrétion. Rien ne relie les victimes les unes aux autres, si ce n’est que chacune est enceinte de son premier enfant.Deux semaines plus tard, durant la manifestation en faveur du mariage pour tous, d’autres femmes meurent, laissant les enquêteurs sans la moindre piste.

Et vous que lisez vous ? 

Boulinier le paradis à petit prix !

Vous connaissez Boulinier ? Le paradis du livre à petit prix, le principe c’est du livre d’occasion entre 0.20 € pour du livre ancien et de poche et 5 € pour les livres récents brochés. Autant dire qu’il ne faut surtout pas y mettre le nez si on s’est mis au défi de n’acheter aucun livre. 

Lien vers leur site : http://www.boulinier.com/index.php/fr/ 

Voici donc les (22) craquages du mois d’août , en avez-vous lu certains ? 

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La voleuse de livres – Markus Zusak

81s0WXRyjzLQuatrième de couverture :

Leur heure est venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité.

Liesel Meminger y est parvenue.

Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s’est arrêtée

Est-ce son destin d’orpheline dans l’Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? A moins que ce ne soit son secret …Celui qui l’a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres…

L’avis du poussin :

Ce livre était dans ma PAL depuis un bon moment, j’avais tenté une première fois de le lire et me suis arrêtée à une dizaine de pages tant le style m’avait déroutée, en effet, c’est la Mort elle-même qui nous raconte l’histoire avec un humour noir et un cynisme à faire pâlir. L’occasion s’est présentée de faire une lecture commune avec le blog http://www.teamlitteraire.fr/ , me voilà donc reparti dans ce livre avec une certaine appréhension les dix premières pages m’ont fait le même effet, je me suis accrochée grâce à ma coloc’ de livre jusqu’à une centaine de pages ou là, j’ai plongé tête la première, sans lâcher ce livre un instant, jusqu’au point final.

L’histoire commence lors de la rencontre de la Mort et de Liesel Meminger en janvier 1939, lors de la mort du petit frère de celle-ci, sur le chemin de leur maison d’adoption , elle va par la même occasion commettre son premier vol de livres en dépit du fait qu’elle ne sache pas lire .Liesel arrive à cette issue dans sa famille adoptive Hans un père aimant et un professeur de lecture improvisé pendant ses insomnies nocturnes et Rosa une mère bourrue et vulgaire . Elle va également faire la connaissance de Rudy, un voisin, avec qui elle va commettre d’autres larcins littéraires ou non.

La guerre fait de plus en plus de victimes et la Mort nous le rappelle, car elle est débordée, chaque jour, elle collecte de plus en plus d’âmes et témoigne de la folie humaine. Pendant ce temps chez Liesel, un jeune boxeur juif vient d’être accueilli au sous-sol quoique les liens fussent distants les premiers temps, une forte amitié va naitre entre Max et la petite fille.

Max finit par s’enfuir de peur de mettre en danger cette famille de résistants courageux, les raids aériens se multiplient et s’intensifient, le dernier sera meurtrier et douloureux pour Liesel.

L’histoire se termine avec le décès de Liesel devenu une vieille dame ayant fondé une famille en Australie et un dialogue avec la Mort.

J’en suis ressorti vide, émue et heureuse, mais je n’en dirais pas plus à vous de découvrir ce roman audacieux et riche en rebondissement, qui a remporté le prix Millepages Jeunesse et a fait l’objet d’une adaptation sur grand écran.

Voici le lien vers l’article de Team Littéraire : http://www.teamlitteraire.fr/2015/09/la-voleuse-de-livres-de-markus-zusak.html

La phrase marquante : Même la mort a un cœur

Note du poussin : 4/5

Lien vers l’auteur : https://www.facebook.com/MarkusZusak

Nom d’une poule on a volé le soleil ! Christian Jolibois et Christian Heinrich – Editions Pocket Jeunesse

14417886002141Quatrième de couverture :

Rien ne va plus au poulailler : Pitikok n’arrive pas à faire lever le soleil ! Comme tous les matins, le papa de Carmen et de Carmélito a lancé son appel vers le ciel : «  Cocorico !» Mais l’astre solaire a disparu. Qu’à cela ne tienne : Carmen, Carmélito et Bélino retrouveront le soleil ! Nom d’une poule !

L’avis du poussin :

La collection les p’tites poules nous embarquent dans les aventures trépidantes de Carmen et de son frère Carmélito, une collection de 12 livres aux textes plein d’humour et à l’univers coloré.

Des livres à raconter à partir de 5 ans et à lire seul à partir de 7 ans, la plume de l’auteur Christian Jolibois est appréciable pour le parent conteur comme pour l’enfant lecteur, des phrases courtes, mais avec du vocabulaire et une pointe d’humour durant les 48 pages qui nous projette dans l’aventure, on se prendrait presque pour des poules l’espace d’un livre. Quant aux illustrations de Christian Heinrich, elles sont tout simplement magnifiques, nous avons ici de vrais dessins qui me ramènent à notre propre enfance et non des dessins ultra simplifiés comme la plupart des livres pour enfant d’aujourd’hui.

Ma fille de 5 ans a apprécié cette lecture et n’avait qu’une hâte, savoir si le soleil allait être retrouvé.    

Note du poussin : 4/5

Lien vers la collection : http://www.lesptitespoules.fr/

Delphine De Vigan – Rien ne s’oppose à la nuit

20150819_162929Quatrième de couverture :

Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence.

L’avis du poussin :

Oh qu’elle va être dure à écrire cette chronique, si j’avais su qu’il me toucherait de si près, je ne l’aurais sans doute pas lu.

Ce roman a reçu différents prix littéraires notamment  le prix du roman Fnac, le prix Renaudot des lycéens et le prix France Télévisions 2011 ainsi que le Grand prix « roman » des lectrices de Elle 2012.

La quatrième de couverture a convaincu mon acte d’achat sans savoir ce qu’il contenait vraiment.

Delphine De Vigan a écrit son roman en trois parties l’enfance de Lucile (sa mère), la vie d’adulte de celle-ci comprenant la naissance de ses filles et pour finir le suicide et la gestion de l’après. 

 Ces parties sont composées à la fois du récit concernant le passé et des moments de doutes de l’auteur quant à cette écriture qui remue tant de moments que tout le monde aurait préféré oublier.

Cela raconte les multiples et bouleversants drames familiaux qui se sont produits pendant toute une génération dans cette famille comme une malédiction, mais aussi la maladie de Lucile, « psychose maniaco-dépressive ou bipolarité »

Voilà pourquoi il m’a tant touché ma mère étant bipolaire depuis tant d’années, chaque description de crise de démence ou de folie dépensière dans ce livre m’a  renvoyé à mon enfance et à cette maladie ingérable aussi bien pour le malade que pour l’entourage. On s’habitue à tout, à devenir l’allié, l’ennemi ou les deux à la fois. 

Il y a un passage qui m’a projeté dans ma propre vie et ma propre détermination : 

« À partir de quatorze ans, ne pas ressembler à ma mère a constitué pour moi une préoccupation majeure, un objectif prioritaire. Je ne voulais en rien être semblable à Lucile, ni sur le plan physique, ni sur le plan psychologique, et recevais comme une insulte toute comparaison hâtive établie entre nous. »

En résumé, un livre bouleversant pour moi, mais je pense également pour quiconque ayant de l’humanité.

La phrase marquante : Sans doute avais-je envie de rendre hommage à Lucile, de lui offrir un cercueil de papier, car, de tous, il me semble que ce sont les plus beaux

Note du poussin : 4/5

Lien vers l’auteur : http://evene.lefigaro.fr/celebre/biographie/delphine-de-vigan-19509.php

Concours Un brin de lecture

Il y a quelques jours , j’ai participé à mon premier concours en tant que blog littéraire et tadam , j’ai eu la surprise d’être sélectionné pour recevoir des goodies de l’auteure J.Kenner : marque page et cartes dédicacées , merci au blog Un brin de lecture dont je vous transmet le lien ici :

http://www.unbrindelecture.com

Du coup , je vous partage une petite photo des goodies qui agrandissent ma collection

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Exploratology

 Le poussin littéraire s’est inscrit après hésitations entre plusieurs box livre à un abonnement roman gros lecteur d’un mois sur Exploratology.
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La promesse de découvrir entre  deux et trois romans qui sortent des sentiers battus et surtout de la médiatisation de masse.

Un concept qui m’a donc plus, moi qui suis toujours à contre-courant des tendances et n’aime pas rentrer dans un moule bien précis.

L’initiatrice de ce projet s’appelle Marjorie et  m’a l’air fort sympathique, en recevant mon colis, je me suis transformé en petit être de 10 ans à peine en découvrant ma caverne d’Ali baba, des livres emballés avec soin dans un écrin de papier, des sachets de thé qui raviront monsieur poussin, des cartes postales magnifiques qui  viennent grossir ma collection initiale et des bonbons parfaits pour les lectures qui s’annoncent .

Tout ceci accompagner d’une petite lettre de bienvenue qui a fini de faire chavirer mon cœur et enfin la découverte de mes trois romans sur le thème de l’aventure :

Le cœur par effraction – James Meek

L’anthropologie n’est pas un sport dangereux – Nigel Barley

Chronique d’un meurtre annoncé – David Grann

Des livres que je n’aurais sans doute jamais choisis moi-même, hâte de les découvrir. Je sais d’ores et déjà que je renouvèlerai mon abonnement, longue vie à Exploratology !

David Grann – Chronique d’un meurtre annoncé

imageQuatrième de couverture :

Rodrigo Rosenberg avait démocratisé l’art du meurtre politique

L’avis du poussin :

Découvert via ma box Exploratology de Juillet-Août, ce livre m’as intrigué pour deux choses : son format ultra poche et sa maison d’édition que je ne connaissais pas (Edition Allia).

Pourquoi ce titre ? Car David Grann est un journaliste et un écrivain qui a publié cette chronique dans le New Yorker en 2011 lors de l’affaire Rodrigo Rosenberg.

Qu’est-ce que l’affaire Rodrigo Rosenberg ? Rosenberg était un avocat d’affaires au Guatemala, un des pays les plus meurtriers au monde, qui va enquêter sur le meurtre de Khalil Musa et Marjorie Musa la fille de ce dernier. À la fin de son enquête il va mettre en scène sa propre mort afin de tenter un coup d’État et faire passer le président Colum pour responsable.

Nous sommes plongés dans la corruption Guatemaltaise de telle façon qu’il est dur de se dire que tout cela s’est bien produit, car la réalité dépasse de loin la fiction. Ainsi comme dans un roman policier, nous sommes pris dans ce documentaire qui a des apparences d’histoire romancée pleine de suspense.

La phrase marquante : La seule façon de combattre l’impunité consiste à « se faire sauter »

Note du poussin : 4/5

Lien vers l’auteur : http://www.editions-allia.com/fr/auteur/103/david-grann

https://www.facebook.com/pages/%C3%89ditions-Allia/281721335246470